table ronde
langue de bois

 « L’époque où prévalait compétition entre banques et assurances d’une part, et fintechs d’autre part, est plus ou moins révolue. Aujourd’hui, on voit beaucoup de collaborations. Au sein de B-Hive, nous avons créé des innovations en commun. Cela nécessite d’identifier des sujets pérennes et non compétitifs entre institutions financières, mais aussi d’élargir la notion de fintech. Au-delà des paiements ou du crédit, toutes sortes de technologies interviennent : l’identity management, la cybersécurité, les big data… La Belgique a beaucoup d’atouts en main, mais deux points sont à travailler : le marketing – surtout à l’étranger – et le financement – notamment en créant un tissu de financement à risques. »