Quel regard portez-vous sur la situation actuelle des fintechs en Belgique ?
 

« Notre position est relativement forte. Nous avons beaucoup de start-ups, mais aussi des sociétés déjà plus développées qui font un boulot extraordinaire en développant de très nombreux projets dans bon nombre de directions différentes. Nous disposons aussi d’un important secteur financier et bancaire assez moderne. Ce qui manque un peu, c’est la convergence, la synergie, la coopération entre les deux ; ces secteurs devraient pouvoir se rencontrer plus facilement et de manière plus constructive. »